Mes recos culturelles d’avril / mai

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Voici mon deuxième article de l’année de ma nouvelle rubrique des recommandations culturelles, pour partager mes dernières découvertes de lecture / ciné / podcasts, etc. en avril et mai.

Retrouve toutes mes recos culturelles dans leur rubrique dédiée.

Ce que j’ai lu

The Heart’s Invisible Furies – John Boyne

Synopsis : « Cyril Avery n’est pas un vrai Avery et il ne le sera jamais – ou du moins, c’est ce que lui répètent ses parents adoptifs. Mais s’il n’est pas un vrai Avery, qui est-il ? Né d’une fille-mère bannie de la communauté rurale irlandaise où elle a grandi, devenu fils adoptif d’un couple dublinois aisé et excentrique par l’entremise d’une nonne rédemptoriste bossue, Cyril dérive dans la vie, avec pour seul et précaire ancrage son indéfectible amitié pour le jeune Julian Woodbead, un garçon infiniment plus fascinant et dangereux. Balloté par le destin et les coïncidences, Cyril passera toute sa vie à chercher qui il est et d’où il vient – et pendant près de trois quarts de siècle, il va se débattre dans la quête de son identité, de sa famille, de son pays et bien plus encore.« 

Mon avis : découvert lors des recos culturelles du podcast 4 Quarts d’heure, j’ai absolument ADORÉ cette lecture ! A priori, la thématique d’un homosexuel dans l’Irlande catholique d’après-guerre n’est pas un thème bien joyeux et pourtant l’écriture est ultra drôle, tout en traitant de sérieux sujets et profonds. Il était long mais j’aurais aimé qu’il dure encore plus ! J’ai ensuite acheté pas mal de titres de cet auteur.

Les fureurs invisibles du coeur, 23,90€, Éditions JC Lattès

A Ladder to the sky – John Boyne

Synopsis : « En 1988, dans un hôtel berlinois, Maurice Swift croise le grand écrivain Erich Ackermann. Une rencontre qui va permettre au jeune homme de devenir l’auteur qu’il a toujours rêvé d’être. Quelques années plus tard, Maurice Swift s’est fait un nom ; il a désormais besoin de nouvelles sources d’inspiration. Peu importe où il trouve ses histoires et à qui elles appartiennent, tant qu’elles contribuent à son succès. Des histoires qui le rendront célèbre, mais qui le conduiront aussi à mentir, emprunter, voler. Ou pire encore… qui sait ? Autour d’un personnage troublant aux ambitions démesurées, L’Audacieux Monsieur Swift raconte combien il est facile d’avoir le monde à ses pieds si l’on est prêt à sacrifier son âme.« 

Mon avis : j’ai bien aimé et l’écriture est audacieuse : je lis toujours les livres anglais en VO et le titre n’étant pas le même, je n’avais pas compris initialement qu’on suivrait l’aventure de Maurice (car on le suit à travers différents points de vue). C’est même dommage que ce titre ait été choisi pour la VF car ça spoile un peu l’histoire je trouve.

L’audacieux Monsieur Swift, 22,90€, Éditions JC Lattès

The Eco Chamber – John Boyne

Synopsis : « Les Cleverley sont britanniques, célèbres et riches. Ils n’ont aucune conscience de la fragilité de leurs privilèges, alors qu’ils ne sont qu’à un tweet du désastre. George, le père, est un animateur de télévision, – un trésor national (selon sa propre expression) –, sa femme Beverley, une romancière reconnue (pas autant qu’elle ne le souhaiterait), et les enfants, Nelson, Elizabeth et Achille, frôlent tous d’inéluctables catastrophes. Ensemble, ils découvrent les affres de la vie moderne, où les réputations sont détruites en un clin d’œil, et ils apprennent combien le monde se révèle impitoyable lorsque l’on s’écarte du chemin tout tracé.« 

Mon avis : j’avais un peu peur d’une prise de position un peu réac et « anti-woke » caricaturale mais finalement c’était prenant et ultra drôle, même si on voit la fin arriver gros comme une maison. Il faut bien s’accrocher car il y a plein de personnages qui se lient à plusieurs niveaux dans l’histoire, parfois dur de ne pas perdre le fil !

Le syndrome du canal carpien, 22,90€, Éditions JC Lattès

On était des loups – Sandrine Colette

Synopsis : « Ce soir-là, quand Liam rentre des forêts montagneuses où il est parti chasser, il devine aussitôt qu’il s’est passé quelque chose. Son petit garçon de cinq ans, Aru, ne l’attend pas devant la maison. Dans la cour, il découvre les empreintes d’un ours. À côté, sous le corps inerte de sa femme, il trouve son fils. Vivant. Au milieu de son existence qui s’effondre, Liam a une certitude : ce monde sauvage n’est pas fait pour un enfant. Décidé à confier son fils à d’autres que lui, il prépare un long voyage au rythme du pas des chevaux. Mais dans ces profondeurs, nul ne sait ce qui peut advenir. Encore moins un homme fou de rage et de douleur accompagné d’un enfant terrifié. « 

Mon avis : Le style d’écriture est particulier mais prenant, comme le précédent que j’ai lu (Madelaine avant l’aube). J’ai un peu du mal visiblement redondant pour cette autrice de l’enfant mal aimé !

On était des loups, 20,90€, Éditions de l’épée

The Elements – John Boyne

Une série de 4 livres par John Boyne, chacune dédiée à un élément et un personnage dont les histoires s’entremêlent entre les 4 livres. J’ai pour l’instant lu Water et Earth, et suis en train de lire Fire avant de m’attaquer à Air.

Pas d’aspect comique comme dans mes précédentes lectures de l’auteur, et des thèmes un peu dérangeants jusqu’à présent (inceste, pédocriminalité, viols), il faut le savoir avant de le lire. Je ne crois pas qu’ils aient déjà été traduits en français.


Ce que j’ai vu

En ce moment je suis en train de regarder The Morning Show sur Apple TV, et You sur Netflix. Je vous en parlerai lors de ma prochaine publication sur mes recos !

Black Mirror saison 7, sur Netflix

Synopsis : « La série d’anthologie sombre et satirique de Charlie Brooker revient en 2025 avec six nouveaux épisodes.« 

Mon avis : on l’a regardée en entier (sauf le dernier épisode qui est la suite d’un épisode d’une précédente saison, trop Sci-Fi pour moi), il y a certains épisodes pour lesquels j’ai mieux accroché que d’autres. Dans l’absolu je trouve que les saisons récentes sont moins « mind-blowing » que les premières, qui étiraient plus les travers de notre société et leur probable futur dystopique, là c’est plus des possibilités de développement dans le futur… On a vu le switch de la production UK à la production Netflix je trouve. Bref moins emballée mais ça se regarde.

Desperate Housewives, sur Disney+

Synopsis : « Le quotidien mouvementé de quatre femmes : Susan Mayer, Lynette Scavo, Bree Van de Kamp et Gabrielle Solis. Elles vivent à Wisteria Lane, une banlieue chic de Fairview, stéréotype des quartiers résidentiels des classes aisées américaines.« 

Mon avis : c’est un peu ma série doudou, je la regarde une fois tous les 10 ans et j’aime toujours autant ! Même si avec le recul, je trouve qu’il y a une forte empreinte républicaine dans le show (à plusieurs reprises, des femmes tombent enceinte et n’en veulent pas : l’avortement n’est jamais suggéré comme option, et elles finissent toujours par accepter et aimer leurs bébés !). Mais en voyant les 8 saisons à la suite, on apprécie le développement des personnages (et en la voyant à plusieurs étapes de ma vie, je me rends compte que je n’ai plus la même appréciation de certains personnages, que je comprends mieux ou moins) et ça ne m’empêche pas de verser ma larme à chaque fois que la série se termine.

L’amour c’est surcoté, au ciné

Synopsis : « Diagnostiqué « nul avec les meufs » depuis son plus jeune âge, Anis mène une existence charnelle placée sous le signe du calme plat. Trois ans jour pour jour après la perte d’Isma, son meilleur ami et mentor, il prend son courage à deux mains et se décide enfin à sortir faire de nouvelles rencontres. Sauf qu’en abordant Madeleine, Anis ignore que débute une grande aventure. Un truc inattendu. Un truc qui s’appelle « l’amour ».« 

Mon avis : tellement bien ! Je craignais une caricature de comédie française sur le thème du mec de cité qui tombe amoureux d’une fille de famille bourgeoise. Et pas du tout, c’est frais et dans l’air du temps, c’est drôle et bien écrit, sans être lourd ! Bon par contre Hakim Jemili qui est censé avoir 30 ans et Laura Felpin 23, c’est un peu abusé 😂 mais le duo fonctionne bien. J’ai depuis acheté les livres de Mourad Winter.


Ce que j’ai écouté

Me demandez pas pourquoi, en ce moment j’écoute Fall Out Boy en boucle comme si j’avais à nouveau 15 ans.

Mes podcasts habituels

Je tourne toujours sur mes podcasts habituels que j’écoute au sport, en marchant ou lors des tâches ménagères :

  • Le Floodcast, de Florent Bernard et d’Adrien Ménielle (ils ont annoncé la fin du floodcast et j’ai failli chialer)
  • 4 Quarts d’heure, de Louise Petrouchka, Camille Lorente, Alix Martineau et Kalindi Ramphu
  • Small Talk, de Daniel Castello Lopez sur Konbini
  • Walk & Talk, de Rayene sur Konbini

Je suis ultra preneuse de vos recos lectures et podcasts, n’hésitez pas à me les partager en commentaire, sur insta ou par mail !

Cet article contient des liens affiliés (plus d’infos ici). Il n’est cependant pas sponsorisé par (ou issu d’une collaboration avec) les marques citées.

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