Livres : récap’ de mes lectures 2023

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L’un de mes objectifs 2023 noté dans mon Vision Board était de lire au moins 10 livres sur l’année… Défi relevé : Kindle en poche, j’ai profité des vacances d’été pour dévorer plusieurs livres à la chaîne. Je vous en fais le récap ici en vous dévoilant mes coups de coeur… et ceux dont j’aurais pu me passer !

mes lectures 2023
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Les Possibles, Virginie Grimaldi

Synopsis

« Juliane n’aime pas les surprises. Quand son père fantasque vient s’installer chez elle, à la suite de l’incendie de sa maison, son quotidien parfaitement huilé connaît quelques turbulences.
Jean dépense sa retraite au téléachat, écoute du hard rock à fond, tapisse les murs de posters d’Indiens, égare ses affaires, cherche son chemin.
Juliane veut croire que l’originalité de son père s’est épanouie avec l’âge, mais elle doit se rendre à l’évidence : il déraille. »

Mon avis : mitigé

Virginie Grimaldi est l’autrice best-seller des romans feel-good, j’ai lu beaucoup de ses romans l’année précédente, que j’ai appréciés pour la plupart.

J’ai un peu moins accroché avec ce titre-là : les protagonistes étaient trop opposés, je ne m’y suis pas particulièrement attachée, l’intrigue ne me parlait pas énormément. Par contre, il se lit vite !

Changer l’eau des fleurs, Valérie Perrin

Synopsis

« Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se réchauffer dans sa loge où rires et larmes se mélangent au café qu’elle leur offre. Son quotidien est rythmé par leurs confidences. Un jour, parce qu’un homme et une femme ont décidé de reposer ensemble dans son carré de terre, tout bascule. Des liens qui unissent vivants et morts sont exhumés, et certaines âmes que l’on croyait noires, se révèlent lumineuses. »

Mon avis : j’ai beaucoup aimé

Mon premier roman de Valérie Perrin, qui m’avait été recommandé à de nombreuses reprises. On est loin des romans feel-good, car tout n’y est pas rose, pas mal de passages et histoires douloureux, mais l’histoire est belle, et les personnages attachants. Parfois un peu long.

Mauda Ankoua, Respire

Synopsis

« Et s’il existait un Plan ? Si tout ce nous vivions avait été placé sur notre chemin pour nous permettre de nous accomplir ? Malo, 30 ans, petit génie de la finance à qui tout réussit, est appelé à Bangkok pour aider une entreprise en difficulté. Quelques semaines après son arrivée, il surprend une conversation qui l’anéantit : il ne lui resterait plus que quelques mois à vivre… Au moment où il perd tout espoir, une vieille dame lui propose un pacte étrange : en échange de 30 jours de la vie du jeune homme, elle le met au défi. »

Mon avis : MA PIRE LECTURE EVER

Je ne classe pas ce livre dans la catégorie « feel good » mais dans la catégorie « le développement perso pour les nuls » ! Je pense que ChatGPT serait capable d’écrire un meilleur bouquin sur la même thématique, car difficile de faire plus neuneu que celui-là. C’est la première fois que j’ai eu l’impression de perdre mon temps avec une histoire / intrigue digne de ce nom qui ne viendra finalement jamais. Après, ça a été un best-seller, donc j’imagine qu’il a plu a beaucoup de monde et que je ne suis juste pas dans la cible…

Une histoire cousue de fil blanc, ÉVIDEMMENT le personnage principal qui vit à Bangkok rencontre une femme de ménage thaïe âgée érudite, mystérieuse… et qui parle parfaitement le français ! ÉVIDEMMENT elle est empreinte de sagesse et va lui faire se rendre compte du chemin de vie à prendre avec beaucoup de bienveillance…

Bref, c’était niais et tellement tiré par les cheveux que je m’attendais à un plot twist qui allait donner du sens à cette histoire, mais comme il n’est jamais venu, je n’ai pas terminé ce livre ! J’avais aussi acheté Kilomètre Zéro de cette même autrice, mais franchement, ce livre m’a passé l’envie de le lire – et les retours que j’ai eus au sujet de ces 2 livres sur insta me l’ont confirmé.

Tout le bleu du ciel, Melissa Da Costa

Synopsis

« Petitesannonces.fr : Jeune homme de 26 ans, condamné à une espérance de vie de deux ans par un Alzheimer précoce, souhaite prendre le large pour un ultime voyage. Recherche compagnon(ne) pour partager avec moi ce dernier périple.
Émile a décidé de fuir l’hôpital, la compassion de sa famille et de ses amis. À son propre étonnement, il reçoit une réponse à cette annonce. Trois jours plus tard, devant le camping-car acheté secrètement, il retrouve Joanne, une jeune femme coiffée d’un grand chapeau noir qui a pour seul bagage un sac à dos, et qui ne donne aucune explication sur sa présence. »

Mon avis : un de mes préférés

Même si l’histoire semble parfois cousue de fil blanc, et les personnages presque caricaturaux tant ils sont opposés. Même si certains passages sont un peu longs, j’ai fini par m’attacher à eux lorsque l’on apprend le passé de Joanne.

Au fil de leur road-trip, on découvre des paysages et villes françaises, l’histoire des protagonistes (et celle de Joanne m’a, forcément, particulièrement émue) mais aussi l’approche de la mort certaine de l’un d’entre eux. La fin était, pour moi, inattendue.

La Vérité sur l’Affaire Harry Québert, Joël Dicker

Synopsis

« À New York, Marcus Goldman, jeune écrivain à succès, est dans la tourmente: il est incapable d’écrire le nouveau roman qu’il doit remettre à son éditeur d’ici quelques mois. Son ami et ancien professeur d’université, Harry Quebert, l’un des écrivains les plus respectés du pays, est rattrapé par son passé et se retrouve accusé d’avoir assassiné, en 1975, Nola Kellergan, une jeune fille de 15 ans, avec qui il aurait eu une liaison.
Convaincu de l’innocence de Harry, Marcus abandonne tout pour se rendre dans le New Hampshire et mener son enquête. Pour innocenter Harry et sauver sa carrière d’écrivain, il doit absolument répondre à trois questions : Qui a tué Nola Kellergan ? Que s’est-il passé dans le New Hampshire à l’été 1975 ? Et comment écrit-on un roman à succès ? »

Mon avis : bof bof

J’ai lu ce livre après avoir lu l’Affaire Alaska Sanders l’année précédente (dans le mauvais ordre, donc). J’étais étonnamment passée à côté de ce succès, car ce best-seller a été adapté en téléfilm américain et a reçu de nombreux prix.

On suit tout au long de ce long (très long) livre l’enquête de Marcus Goldman, un écrivain déchu, qui veut innocenter son mentor, Harry Quebert, accusé d’avoir assassiné Nora en 1975.

Personnellement, j’ai trouvé que beaucoup de passages étaient longs, et outre les discussions et citations pseudo-philosophiques, on dirait que ce roman a été écrit par un fan des US n’y ayant jamais mis les pieds : tout y est ultra caricatural, on dirait que certains personnages sont sortis tout droit d’une série américaine Et je ne parlerai même pas du fait de romancer une liaison entre un professeur trentenaire et une adolescente de 15 ans…

Cependant, l’enquête est prenante : il y a de nombreux rebondissements, fausses pistes et coups de théâtre qui font en sorte de nous laisser suffisamment captivés pour le finir. Mais entre les 2 livres lus de cet auteur, je préfère l’Affaire Alaska Sanders.

Une belle vie, Virginie Grimaldi

Synopsis

« Agathe et Emma Delorme sont soeurs. Elles ont grandi l’une contre l’autre, mais sont pourtant très différentes. Après cinq ans d’un silence inexpliqué, Emma donne rendez-vous à Agathe dans la maison de vacances : Mima, leur grand-mère adorée, n’est plus, il faut vider les lieux et faire le tri dans les souvenirs. »

Mon avis : pas mal

Encore un roman feel-good de la maîtresse du genre en France ! Ce livre est à l’image des romans de Virginie Grimaldi : il se lit vite, sans prise de tête, souvent drôle et parfois un peu triste. On reconnait la façon d’écrire de son autrice : gentilles punchlines, côte Basque, apparition de personnages de précédents romans et plot twist à la fin.

On découvre l’histoire des 2 soeurs à travers 2 temporalités, l’histoire de leur enfance étant clairement faite pour remémorer des souvenirs aux lecteurs ayant grandi dans les années 80/90 (jusqu’à être quelques fois un peu redondant, à la longue). Parfois un peu cliché ou superficiel sur certaines thématiques, mais c’est un bon roman à lire en quelques après-midis à la plage (et pour ça : il fait super bien le taf !).

Robe de marié, Pierre Lemaître

Synopsis

« Nul n’est à l’abri de la folie. Sophie, une jeune femme qui mène une existence paisible, commence à sombrer lentement dans la démence: mille petits signes inquiétants s’accumulent puis tout s’accélère. Est-elle responsable de la mort de sa belle-mère, de celle de son mari infirme ? Peu à peu, elle se retrouve impliquée dans plusieurs meurtres dont, curieusement, elle n’a aucun souvenir. Alors, désespérée mais lucide, elle organise sa fuite; elle va changer de nom, de vie, se marier, mais son douloureux passé la rattrape… »

Mon avis : très prenant

Ma mère m’a recommandé ce livre et m’a dit « passe la première partie et tu verras, c’est prenant ». Et elle avait raison !

On découvre l’histoire à travers le point de vue successif de ses 2 personnages principaux. Au début, on découvre Sophie, qui se retrouve totalement désorientée dans un appartement où elle faisait du babysitting, avec l’enfant qu’elle gardait mort près d’elle. On suit sa fuite et ses trous de mémoire en essayant de comprendre qui elle est, et ce qu’elle a fait pour en arriver là. La fin est méga surprenante. Il se lit vite !

Les oubliés du dimanche, Valérie Perrin

Synopsis

« Justine, vingt et un ans, vit chez ses grands-parents avec son cousin Jules depuis la mort de leurs parents respectifs dans un accident. Justine est aide-soignante aux Hortensias, une maison de retraite, et aime par-dessus tout les personnes âgées. Notamment Hélène, centenaire, qui a toujours rêvé d’apprendre à lire.
Les deux femmes se lient d’amitié, s’écoutent, se révèlent l’une à l’autre. Grâce à la résidente, Justine va peu à peu affronter les secrets de sa propre histoire. Un jour, un mystérieux « corbeau » sème le trouble dans la maison de retraite et fait une terrible révélation. »

Mon avis : j’ai aimé

Ma deuxième rencontre avec Valérie Perrin, et j’ai presque autant aimé que le premier. On y découvre en parallèle l’histoire de Justine et sa famille, mais aussi celles de plusieurs résidents de la maison de retraite dans laquelle elle travaille (souvent délaissés par leur famille, d’où le surnom des « oubliés du dimanche »), avec un focus particulier sur Hélène : on découvre son histoire d’amour pendant la guerre à travers ses souvenirs. C’était une chouette lecture !

Trois, Valérie Perrin

Synopsis

« 1986. Adrien, Etienne et Nina se rencontrent en CM2. Très vite, ils deviennent fusionnels et une promesse les unit : quitter leur province pour vivre à Paris et ne jamais se séparer.
2017. Une voiture est découverte au fond d’un lac dans le hameau où ils ont grandi. Virginie, journaliste au passé énigmatique, couvre l’événement. Peu à peu, elle dévoile les liens extraordinaires qui unissent ces trois amis d’enfance. Que sont-ils devenus ? Quel rapport entre cette épave et leur histoire d’amitié ? »

Mon avis : j’ai aimé

Comme dans ses deux précédents romans, Valérie Perrin nous plonge dans 2 timelines au sein du même livre. On découvre un trio d’amis depuis l’enfance, et on comprend qu’un événement les a liés tous les trois. On suit leur passage à l’adolescence, puis à l’âge adulte, avec des thèmes qui gravitent autour : amour, amitié, loyauté, complicité. Pas mal de références des années 80/90 dans leur histoire. Le plot twist final m’a surprise !

Les lendemains, Mélissa Da Costa

Synopsis

« Ce que la vie prend, elle le redonne aussi.
Amande ne pensait pas que l’on pouvait avoir si mal. En se réfugiant dans une maison isolée en Auvergne pour vivre pleinement son chagrin, elle tombe par hasard sur les calendriers horticoles de l’ancienne propriétaire des lieux. Guidée par les annotations manuscrites de Madame Hugues, Amande s’attelle à redonner vie au vieux jardin abandonné. Au fil des saisons, elle va puiser dans ce contact avec la terre la force de renaître et de s’ouvrir à des rencontres uniques. Et chaque lendemain redevient une promesse d’avenir. »

Mon avis : j’ai beaucoup aimé

La première partie est assez sombre et mélancolique : on y suit Amande qui s’exile seule après avoir vécu un terrible drame, et tente tant bien que mal d’avancer. La deuxième partie se veut plus positive, s’ouvre sur un message optimiste.

Ce n’est pas un roman feel-good à proprement parler, mais j’ai aimé le message d’espoir et de positif qu’il transmet malgré la souffrance et les épreuves. A lire, mais préparez les mouchoirs !

Je revenais des autres, Mélissa Da Costa

Synopsis

« Il a quarante ans, il est marié, directeur commercial et père de deux enfants. Elle a vingt ans, elle n’est rien et elle n’a personne. Que lui. Quand elle essaie de mourir, il l’envoie loin, pour qu’elle se reconstruise, qu’elle apprenne à vivre sans lui. Pour sauver sa famille aussi. C’est l’histoire d’un nouveau départ dans un village de montagne, l’histoire d’un hôtel, de saisonniers qui vivent ensemble, qui se jaugent, se méfient, se repoussent… C’est l’histoire d’amitiés, de doutes, de colère, de rancœur, d’amour aussi. C’est l’histoire des autres… ceux qu’on laisse entrer dans sa vie… ceux qui nous détruisent mais surtout ceux qui nous guérissent. »

Mon avis : je n’ai pas accroché

Je ne me suis pas particulièrement attachée aux personnages, et je trouve que l’histoire traîne un peu en longueur. J’ai l’impression qu’à chaque nouveau chapitre, l’histoire était finalement toujours un peu la même, pas d’évolution particulière.

Je l’ai trouvé trop long, les personnages bien moins profonds que sur les derniers romans lus de cette autrice. Je l’ai fini par acquit de conscience, mais n’ai pas acheté sa suite (Les douleurs fantômes).

La prochaine fois que tu mordras la poussière, Panayotis Pascot

Synopsis

« Panayotis Pascot s’attaque d’une plume tranchante et moderne à trois thématiques qu’il tisse pour composer un récit autobiographique aussi acide qu’ultralucide. La relation au père, l’acceptation de son homosexualité et la dépression s’enchevêtrent ici dans un violent passage à l’âge adulte. Mais la lumière en sort toujours, d’un regard, d’une façon d’observer le quotidien avec autant de tendresse et d’humour que de clairvoyance. »

Mon avis : j’ai aimé

Ce n’est pas un roman, et le contenu de ce livre est parfois un peu décousu : l’auteur l’a dit lui-même dans plein d’interviews, il a d’abord commencé à écrire en pensant que cette oeuvre sera son prochain spectacle – jusqu’à réaliser qu’il n’y avait pas de blague, et que les sujets étaient assez profonds.

Évidemment, on prêchait une convaincue : j’adore les différents contenus de Panayotis, avais déjà adoré son spectacle (dispo sur Netflix) et écouté un bon nombre de ses podcasts – je savais donc déjà pas mal de son histoire et partais déjà avec un avis positif sur ce best-seller de la rentrée littéraire.

La Doublure, Mélissa Da Costa

Synopsis

« Passion, faux-semblants, emprise… Qui manipule qui ?
Une jeune femme fragile en quête d’un nouveau départ. Un couple magnétique et fascinant prêt à lui ouvrir les portes de son monde doré. Un trio pris au piège d’un jeu cruel et d’une dépendance fatale.
Dans ce roman sombre et envoûtant, Mélissa da Costa explore, à travers l’histoire d’une passion toxique, la face obscure de l’âme humaine et les méandres du désir. »

Mon avis : mon coup de coeur 2023

On suit les aventures d’Evie, qui va travailler au service de l’artiste Clara pour être sa doublure « publique », tout en vivant avec elle et son mari. Une relation malsaine commence entre ce trio, sur fond d’exploration du courant artistique du romantisme noir.

Là, on est loin du roman feel-good car on plonge dans une histoire toxique, qui met mal à l’aise, mais dont il est impossible de décrocher. On se demande jusqu’où iront les personnages (et on n’est pas déçus !). Aussi glauque que prenant, je l’ai lu en quelques jours et l’ai même offert (et la personne en question l’a aussi lu rapidement). Le final est incroyable.

Les femmes du bout du monde, Mélissa Da Costa

Synopsis

« À la pointe sud de la Nouvelle-Zélande, dans la région isolée des Catlins, au cœur d’une nature sauvage, vivent Autumn et sa fille Milly. Sur ce dernier bastion de terre avant l’océan Austral et le pôle Sud, elles gèrent le camping Mutunga o te ao, le bout du monde en maori. Autumn et Milly forment un duo inséparable, jusqu’au jour où débarque Flore, une jeune parisienne en quête de rédemption… Hantées par le passé mais bercées par les vents et les légendes maories, ces trois femmes apprendront à se connaître, se pardonner et s’aimer. »

Mon avis : bof bof

Un autre roman avec lequel je n’ai pas accroché (mais que j’ai fini par acquit de conscience). Une fois n’est pas coutume, je l’ai trouvé trop long par passages, et n’ai pas accroché avec le peu de personnages. Malgré un décor néo-zélandais très bien décrit et qui aidait à s’évader, l’intrigue ne m’a pas parlé des masses.

Il faut attendre très longtemps pour savoir pourquoi Flore, le personnage principal, s’est exilée au bout du monde (et, en plus d’être long, l’information en elle-même est assez décevante).

Où vont les larmes quand elles sèchent, Baptiste Beaulieu

Synopsis

« Le docteur Jean est généraliste dans une ville du Sud-Ouest. En ces temps de déserts médicaux, sa salle d’attente est toujours pleine et il soigne tout le monde. Ce médecin de famille n’a pourtant rien de classique.
Sous le masque de ce personnage romanesque, se révèlent le quotidien du docteur Baptiste Beaulieu et son regard engagé, plein d’empathie mais aussi de colère, sur la médecine actuelle et, surtout, sur les violences faites aux femmes.
Il les aime, ses patientes, le docteur Jean. Lui, son problème, c’est qu’il n’arrive plus du tout à pleurer. Jamais. Où se cachent-elles, ses larmes ? »

Mon avis : j’ai beaucoup aimé

Encore une fois, c’était un livre qui prêchait une convaincue : j’adore Baptiste Beaulieu, que je suis depuis des années sur instagram mais aussi depuis ses débuts sur son blog.

Dans ce livre, on suit son quotidien de médecin et les patients (souvent femmes) qui défilent dans son cabinet. Des histoires drôles, touchantes et tristes aussi. Pas mal de thématiques, personnages ou petites histoires que l’on a déjà pu voir sur ses réseaux sociaux.

Toutes les histoires d’amour du monde, Baptiste Beaulieu

Synopsis

« Lorsqu’il découvre dans une vieille malle trois carnets renfermant des lettres d’amour, le père de Jean sombre dans une profonde mélancolie. Jean, lui, tombe des nues : Moïse, son grand-père, y raconte toute l’histoire de sa vie. Plus incroyable encore, Moïse adresse son récit à une inconnue : Anne-Lise Schmidt. Qui est cette femme ? Et surtout qui était-elle pour Moïse ? Comment quelqu’un de si chaleureux et sensible dans ses lettres a-t-il pu devenir cet homme triste et distant que père et fils ont toujours connu ?
Naviguant entre les grands drames du XXe siècle et des histoires d’amour d’aujourd’hui glanées dans une tentative éperdue de faire passer un message à son père, Jean devra percer le lourd secret d’un homme et lever le voile sur un mystère qui va chambouler toute une famille… »

Mon avis : j’ai aimé

Après avoir lu son nouveau roman, j’ai décidé d’opter pour un autre titre de Baptiste Beaulieu… En ayant complètement zappé que je l’avais déjà lu quelques années auparavant !

J’ai donc (re)lu l’histoire de Moïse au travers de ses lettres dans lesquelles on découvre son histoire d’amour secrète pendant la Guerre, et c’est une histoire vraie ! C’est prenant et touchant.

La petite fille de Monsieur Linh, Philippe Claudel

Synopsis

« C’est un vieil homme debout à l’arrière d’un bateau. Il serre dans ses bras une valise légère et un nouveau-né, plus léger encore que la valise. Le vieil homme se nomme Monsieur Linh. Il est seul désormais à savoir qu’il s’appelle ainsi. Debout à la poupe du bateau, il voit s’éloigner son pays,celui de ses ancêtres et de ses morts, tandis que dans ses bras l’enfant dort. Le pays s’éloigne, devient infiniment petit, et Monsieur Linh le regarde disparaître à l’horizon, pendant des heures, malgré le vent qui souffle et le chahute comme une marionnette. »

Mon avis : j’ai aimé

Encore une recommandation de ma mère ! Ce livre se lit est court et se lit très rapidement. C’est une histoire touchante d’un exil, et la surprise finale est de taille (même si on se doute que quelque chose cloche au fil des pages). On ne sait ni où, ni quand cette histoire a lieu : elle est intemporelle.

Voilà ! Vous avez un aperçu de toutes les lectures que j’ai faites l’année dernière. Et comme je suis toujours à la recherche de nouveaux titres (peu importe le genre, pourvu que ça se lise « facilement »), n’hésitez pas à me dire en commentaire les vôtres pour que je les ajoute à ma pile à lire !

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